(Delphes - début du 2e s. apr. JC)
Éd.
:
FD
III 4:79.
L. Robert, Ét. épigr.
et phil. (Paris 1938) pp. 25-26.
Voir :
P. Bernard: "Poétesses grecques", JS
1, 1985, p. 44.
H. Bouvier: "Hommes de lettres dans les inscriptions delphiques", ZPE 1985.
J.-M. Pailler - P. Payen: Que
reste-t-il de l'éducation classique ? Relire le Marrou, Histoire de
l'éducation dans l'Antiquité; Presses Univ. du Mirail
2004; p. 322.
[θε]ός.
τύχαι
ἀγαθᾶ[ι]. |
Dieu.
À la Bonne Fortune. Il a plu à la Cité des Delphiens qu'Auphria de ... soit Delphienne, attendu que, étant venue trouver le dieu, elle a fait la démonstration de toute la valeur de sa culture, en prononçant de nombreux discours, beaux et agréables, à l'occasion du rassemblement des Grecs pour les Pythia ... ... ... [ici venaient probablement les honneurs habituellement accordés en ce genre de circonstances : v. honneurs accordés à Apollonios, maître d'école, qui a donné lui aussi des ἐπιδείξεις] ... ... ... ... .. nous avons décidé par vote. Décision prise sous (l'archontat de) Aelius Pythodoros de dresser (sa) statue. |
| retour |