(stèle, Smyrne, 1er s. av. J.-C. ?)
Éd. :
Sylloge3 997 - LSAM 17 - I.Smyrn 735 + II2 p. 377.
Voir :
Pfohl 132 (trad. allem.)[ἰ]χθῦς
ἱεροὺς μὴ ἀδικεῖν̣, μηδὲ σκεῦος τῶν τῆς θεοῦ λυμαίνεσθαι, μηδ[ὲ] 4 [ἐ]κφέρειν ἐκ τοῦ ἱεροῦ ἐπ[ὶ] κλοπήν. ὁ τούτων τι ποιῶν κακὸς κακῇ ἐξωλείαι ἀπό- λοιτο ἰχθυόβρωτος γενόμε- 8 νος. ἐὰν δέ τις τῶν ἰχθύ- ων ἀποθάνῃ, καρπούσθω αὐθημερὸν ἐπὶ τοῦ βωμοῦ. τοῖς δὲ συμφυλάσσουσιν 12 καὶ ἐπαύξουσιν τὰ τῆς θεοῦ τίμια καὶ τὸ ἰχθυο- τρόφιον αὐτῆς βίου καὶ ἐργασίας καλῆς γίνοιτο 16 παρὰ τῆς θεοῦ ὄνησις. |
Ne pas
porter atteinte aux poissons sacrés, ni maltraiter l'un des animaux de la déesse, ni le sortir du sanctuaire par vol. Le scélérat qui commettrait l'un de ces forfaits, puisse-t-il périr de male mort, dévoré par les poissons eux-mêmes. Si l'un des poissons vient à mourir, qu'il soit sacrifié le jour même sur l'autel. Pour ceux qui auraient conservé et augmenté les offrandes de la déesse et son vivier, qu'ils reçoivent de la déesse la récompense d'une vie heureuse et comblée. |
Inscription peut-être dédiée à la déesse syrienne Atargatis.
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